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(Nino) He/ ! He/ ! Monsieur ! He/ ! Monsieur, monsieur ! Monsieur, monsieur, attendez ! Attendez ! Attendez ! Attendez ! Attendez ! Attendez ! Attendez ! Attendez ! Attendez. Monsieur ! Des pages entie\res de photos d'identite/s rate/es que leurs proprie/taires de/c,us ont froisse/es, de/chire/es, rejete/es et qu'un hurluberlu a reconstitue/es et repertorie/es. Tu parles d'un album de famille ! (Cliente) Un Gauloises blondes. (Georgette) Vous restez une seconde. Y a tellement de fume/e la\ ici, hein ? Vous me dites ou est-ce que elles sont ? Je vois rien. (Cliente) Un peu plus a\ gauche. Encore Plus. Encore. (Georgette) La\. Ou sont mes 1 Francs ? (Cliente) Laissez tomber. (Gina) Oui ? (Client) Une Moresque. (Gina) Une Moresque pour le jeune homme. Un Kir aligote/, une Moresque et 2 menthes a\ l'eau. (Joseph) Tu m'e/claires? Ce type de roucoulement, c'est pre/nuptial ou post-coi"tal ? (Gina) Et ta connerie, elle est conge/nitale ? (Joseph) Pre/nuptial. (Habite/) (a\ Gina) Allez ! Vous n’en faites pas. Vous finirez bien par tomber sur le bon. (a\ Suzanne) Toutes les femmes veulent s'endormir sur l'e/paule d'un homme. Toutes ! (Suzanne) Oh ouais, je dis pas non mais un homme quand c,a a bu un verre ou deux, c,a ronfle. Moi, j'ai l'oreille musicale ! (Habite/) Oh, moi vous savez, je me suis fait ope/rer des cloisons nasales. (Suzanne) Ha hein! dites donc, vous au moins vous avez le sens de la romance. (Habite/) On voit bien que vous n'avez pas connu le grand amour. (Suzanne) Si je n'avais pas connu, on m'aurait pas raccourci la jambe droite. (Gina) Ah ben, je croyais que c'e/tait un accident de cheval quand vous e/tiez a\ Me/drano. (Suzanne) Oui oui oui, justement. J'e/tais amoureuse d'un trape/ziste. J'aurais du me me/fier. Les trape/zistes, c,a vous lachent au dernier moment ! Et lui, il m'a lache/e a\ la minute j'entrais en piste. J'e/tais toute retourne/e et du coup le cheval aussi. Malheureusement, j'e/tais dessous ! Allez ! La Moresque. (Habite/) N'empeche. Les coups de foudre, c,a existe. (Suzanne) Je ne dis pas non. Moi, en 30 ans passes derrie\re un zinc, je peux dire que j’en connais un rayon question coup de foudre. Je peux meme vous donner la recette ! Vous prenez 2 habitue/s, vous leur faites croire qu'ils se plaisent, vous laissez mijoter, c,a marche a\ tous les coups. (Joseph) S'il vous plait ! S'il vous plait ! (Gina) ☆ ! (Ame/lie) Laisse, j'y vais. Vous ne pensez pas que vous avez fait assez de mal comme c,a autour de vous ? (Joseph) Gina est assez grande pour se defendre toute seule. (Ame/lie) Ce n'est pas a\ Gina que je pense, mais a\ Georgette. (Joseph) Georgette ? (Ame/lie) Ouvrez les yeux, elle est la\ a\ espe/rer une miette d’inte/ret de votre part, et vous n’en avez que pour Gina. La pauvre. Quand on voit a\ quoi elle en est re/duite pour essayer d’attirer votre attention. Il faut vraiment que vous soyez aveugle ! (Gina) Je file, j'ai un rendez-vous. Salut ! (Ame/lie) Au revoir. (Georgette) Au revoir. Je ne sais pas comment sera le nouveau, mais c,a sera jamais pire que l’autre timbre la\ avec son magne/tophone. (Ame/lie) Vous savez, joseph, il est pas si timbre que c,a. Il souffre, c'est tout. (Georgette) C,a fait deux mois que c’est fini entre eux, et il vient ici tous les jours. C’est qu’il aime souffrir. (Ame/lie) Non, ne me dites pas que vous ne vous etes rendu compte de rien. (Georgette) A\ quel niveau ? (Ame/lie) Il s’assoit toujours la\, on est d’accord ? (Georgette) Ben oui. (Ame/lie) Asseyez-vous. Asseyez-vous Georgette. Qu'est-ce que vous voyez la\ ? (Georgette) Ben mon tabac. (Ame/lie) Et il manque rien ? (Georgette) Ben non. (Ame/lie) Faites un effort. (Georgette) Ben non. Ben non. Y a pas, je vois pas ! (Ame/lie) Bon, je vous laisse re/fle/chir. Bonne nuit Georgette. (Ame/lie) (a\ marchande du kiosque a\ journaux) Bonjour. < LA LETTRE ARRIVE AVEC 30 ANS DE RETARD ! > France-Soir < Une octoge/naire suisse vient de recevoir une lettre poste/e il y a... trois de/cennie. Le courrier a e/te/ de/couvert, dans un sac postal, par un groupe d’alpinistes sur le glacier de Bossons, au Mont-Blanc. Le sac appartenait a\ la cargaison du "Malabar Princess", un avion victime d'un crash a\ la fin des anne/es 60. > (Marchande) Quel malheur! Pour une fois qu'une princesse e/tait jeune et jolie. (Ame/lie) Vous voulez dire que si elle avait e/te/ vieille et moche, c'e/tait moins grave ? (Marchande) Ben oui quand meme. Regardez Me\re Theresa. Et lui alors, toujours a\ courir apre\s Gina ? (Ame/lie) Non, il s’inte/resse a\ quelqu'un d'autre. (Marchande) Dites-moi, c'est quelqu'un que je connais ? (Ame/lie) Oui oui. C’est dro^le cette histoire de glacier. (Marchande) C’est quelqu’un des Moulins ? (Ame/lie) Oui. Vous croyez qu’ils vont faire suivre le courier ? (Ame/lie) Hm hm. (Marchande) C'est quand meme pas vous ! (Ame/lie) Non. (Marchande) C'est pas Madame Suzanne... Non ! (Ame/lie) Si ! -- ※ 發信站: 批踢踢實業坊(ptt.cc)