精華區beta France 關於我們 聯絡資訊
影片:http://www.canalplus.fr/pid981.htm 主持人:Michel Denisot(以下簡稱M) 受訪者:Zinédine Zidane(以下簡稱Z) 訪問內容(接受個人轉錄,不歡迎任何媒體直接或間接轉錄): M : Bonsoir. Merci d’être fidèle à ce rendez-vous exceptionnel sur Canal+ ce soir avec Zinédine Zidane. Zinédine Zidane, bonsoir. Z : Bonsoir. M : Vous n’avez pas parlé pendant la Coupe du monde. Vous n’avez pas parlé depuis la finale de dimanche. C’est la première fois que vous parlez. Vous êtes attendu. Cette interview est très attendue dans le monde entier. Des dizaines, peut-être des centaines de millions de gens attendent ce que vous allez dire. Ce soir, tous mes confrères aimeraient être à ma place. Je vais essayer d’être leur interprète, et, en particulier, ceux du service des sports de Canal+, avec qui nous avons préparé ce rendez-vous. Alors, on va évidemment parler de la finale. On va évidemment parler de tout ce qui s’est passé, de beau et de moins bien, pendant la finale pour vous : le penalty fantastique, le carton rouge, tout ce qui s’en est suivi, vous allez nous expliquer. Je crois que vous êtes là pour tout dire. On va faire un tour d’horizon rapide de cette Coupe du monde, puisque vous n’avez rien dit jusqu’à maintenant. On commence quand vous arrivez en Allemagne il y a à peu près d’un mois. La presse, l’opinion française est … est un peu dubitative au sujet de l’Équipe de France. Et on a l’impression qu’il y a, dès ce moment-là, un léger décalage entre ce que vous vivez et ce que l’on ressent. Pas aussi grand qu’en 98, mais est-ce que c’était déjà un peu le cas ? Z : Ben c'est à dire qu’en fait que … c’est vrai que quand on est parti en Allemagne, juste en partir en Allemagne, on comptait pas beaucoup sur l’Équipe de France. Et … ce qui a été de superbe, fin, ce qui a été de superbe pour nous, c’est que … c’est qu’en fait que nous … il y avait vraiment une bonne ambiance, vraiment quelque chose qui s’était créée entre nous, pour faire quelque chose de bien. En fait on savait pas on allait vraiment faire quelque chose de bien et si on allait aller très loin. Mais en tous les cas, il s’était créé quelque chose entre nous. On était peut-être en décalage avec les gens, mais nous, à l’intérieur, je peux vous assurer que … qu’on était conscient de ce qu’on pouvait faire. M : On dit quand même un mot sur la Corée du Sud. Donc la Corée du Sud un partout … (coupé) … surtout les chaînes de télévision, quand vous sortez, et vous ne changez pas de regard avec lui(按:指教練Raymond Domenech), à ce moment-là, on a conclu qu’il y a un fossé entre vous et lui. Quand n’est-il ? Z : Non. En fait, il n’y a jamais eu justement de fossé entre lui et moi. Il croit toujours que tout a été clair dès le départ. Et … parce qu’en fait, il s’est dit que j’appelais pas … j’appelais pas … notre entraîneur de la même façon que les autres entraîneurs. Donc … (coupé) J’ai encore plus, mais mes entraîneurs … je crois que si … le seul problème, c’est que … c’est qu’on a envie de me faire dire des choses qui sont pas de moi. C’est tout. Et parce que moi, si j’avais vraiment quelque chose à dire à quelqu’un, voilà, je lui aurai dis à lui. C’est ce que j’ai fait à plusieurs reprises. Et c’est ce qu’il a fait lui avec moi à plusieurs reprises, quand il y avait quelque chose et qu’il avait à dire. Parce qu’y s’est jamais rien passé. Ce regard-là, quand je sors, je suis très déçu, tout simplement. Je fais 0-0 contre la Suisse. On fait 1-1 contre la Corée du Sud. Je sors à la 90e minute. Forcément. Qu’est-ce que vous croyez, vous ? Que je vais faire un grand sourire et que je vais taper dans la main de tout le monde ? Non. Parce que je suis comme ça. Je suis quelqu’un qui est entier, qui montre ses émotions. Forcément ça plaît pas à tout le monde. Mais je me suis expliqué avec l’entraîneur de suite après. Et y avait pas de souci de ce côté-là. M : Est-ce que votre complicité avec l’entraîneur est allée grandissante ? Est-ce qu’elle avait besoin de grandir au fur et à mesure ? Z : La tête basse … quand vous sortez d’un terrain, ou quand vous rentrez à l’hôtel, ou … mais entre nous, dans le groupe, il s’est jamais rien passé … rien passé de négatif. Ça c’était … ça c’est quand même… c’était quand même important. (coupé) Lorsque qualifié, on oubliait 2002, et on s’est concentré sur un adversaire qui soi-disant était plus fort que nous, qui allait nous manger, et qui allait faire une bouchée de la France. Voilà. C’est tout. Donc, c’était vraiment le scénario idéal pour nous, pour préparer ce match. Et d’ailleurs c’est ce qui s’est passé ensuite contre l’Espagne. On a vraiment fait le match qu’il fallait. M : Comment vous l’avez suivi le match, contre le Togo ? Vous êtes suspendu … Z : Dans les vestiaires. (M : Dans les vestiaires ? ah oui.) Pas terrible, mais (聳肩,微笑)… parce que forcément quand on est … M : Vous n’avez pas envie de descendre dans les tribunes … (Z : Non, non) parce qu’on vous aurait suivi tout le temps (Z : Oui, oui). Sur le banc, on vous aurait filmé tout le temps. Z : J’aurais fait certaines… Dans les vestiaires, si j’avais envie de jeter à un moment donné quelque chose, je le fait, quoi. Voilà. (M : Vous étiez seul ?) J’étais … pas seul dans les vestiaires, non. On était deux ou trois. J’étais d’ailleurs avec Eric Abidal aussi. Et puis, voilà, je regarde tranquille- ment le match. Forcément, libéré quand on a marqué, quand Pat Vieira a marqué. Et puis quand Titi a marqué le deuxième but. Voilà, soulagé, quoi … (coupé) M : C’est une autre Coupe du monde qui commence. L’Équipe de France … on a l’impression que c’est plus la même, quoi… Tellement elle devient performante, brillante, pour atteindre l’apothéose contre le Brésil. Mais ça marche déjà très bien contre l’Espagne. Z : Parce que ce qui a fait la différence, c’est qu’on a vraiment pris confiance en nous, quoi. Voilà. En fait, parce que, quand vous regardez, on a vraiment joué, pratiquement souvent fait tout le monde de la même façon. On a bien défendu, ce qui était très important pour nous. Et on a attaqué par un coup … parce qu’on jouait avec une seule pointe, c’était pas forcé- ment facile pour Titi.…(coupé) M : C’était un style que vous aimez vous ? Z : Oui ! C’était surtout ce qu’il fallait faire, je crois. Il faut surtout se rassurer nous défensivement après prendre des buts … Oui, fin, encore une fois, c’est comme ça. C’est pas … c’est toujours… mais sur quand vous lisez certaines choses, c’est toujours des horreurs (ou oreilles? coupé) Quand on sort du cadre sportif, forcément c’est … c’est… ça touche, quoi. M : Est-ce que c’est vrai qu’à partir des 8e, donc des quarts, à chaque match vous étiez prêt … bon … à l’élimination. Puisque c’est la règle du jeu. Et prêt à partir. Il y avait la valise dans les vestiaires, on disait que vous aviez un t-shirt pour dire merci à tout le monde ? Z : Oui. En fait mon t-shirt il était là pour … Mais chaque match il a été là. Chaque match il a été là. Et quelque part il m’a bien servi, quoi. Et fin … quelque part… il avait pas trop à chaque fois envie de se découvrir, quoi. M : Parce qu’à chaque match à partir des 8e, vous entrez sur le terrain en disant, certainement pas pendant tout le match mais quelques instants, c’est peut-être mon dernier match ? Z : Oui, je me le disais avant tous les matches, quoi. Après quand j’étais sur le terrain, j’y pensais plus à ça. Forcément on se dit que … mais en même temps, cela pose très vite, la question. Parce qu’en fait on a envie de concentrer sur le match qui vient. Et c’est ce qui s’est passé à chaque fois. M : A partir de quand avez-vous une certaine conviction que la France pouvait aller jusqu’au bout ? Z : Je crois après le match de l’Espagne. Après le match de l’Espagne, on a vraiment … ce qui a fait la différence, c’est qu’on a vraiment fini bien physiquement. Et surtout on avait vraiment pris … on a eu confiance en nous, quoi. Parce que … c’est vraiment une belle victoire. Y a pas grand’ chose à dire sur cette victoire-là. (coupé) M : Mais y a risque au départ de … Z : Mais oui. Mais lui, il a pris le risque. C’était ça qui était bien. C’est qu’il a pris le risque de programmer l’équipe pour être prêt en huitième de finale. Et ça nous a tous servis. Et je crois qu’il était en accord avec l’entraîneur. Donc je pense que justement … que c’est un travail d’équipe. Et ça s’est bien passé. M : Et on va arriver à la finale dans quelques instants. Mais il y aura, auparavant, le match peut-être le plus beau de votre carrière. C’est vous qui aimez le dire. C’est le match contre le Brésil. Vous êtes un génie dans ce match. Tout vous réussit …(coupé) Z : Un match comme ça en Coupe du monde, un quart finale, je dis, contre le Brésil et éliminer justement le champion du monde en titre (coupé) …gagner champion du monde en titre… vous avez envie d’aller jusqu’au bout. Vous avez envie de continuer l’aventure. Et … (coupé) M : Ça n’arrivait pas les buts sur une passe de Zinédine, ce qui a été un raccourci un peu caricatural … on arrive à la demi-finale contre le Portugal, penalty, et là, vous tirez, comme très souvent, à droite du gardien Ricardo. C’est pas aussi simple que ça ? Z : Non, c’est pas aussi simple que ça. Mais … mais c’est … voilà, c’est que vous concentrez pour essayer d’entrer le ballon dans le but. Quelquefois … quelquefois ça sort, mais j’ai eu de la chance. Voilà. M : Alors on arrive à la finale. Donc il y a jeudi, vendredi, samedi, et puis la journée du dimanche. Là c’est essentielle- ment récupération, préparation, discussion. Est-ce que vous avez besoin d’avoir du monde autour de vous ? Est-ce que vous préparez ce type de très, très grand rendez-vous, y a pas de plus grands rendez-vous … (coupé) Z : On a toujours préparé de la même façon tous les matches. Je crois qu’on avait chacun un petit rituel, quoi. Enfin, une petite chose à nous. Et moi … (interrompu) M : Ou c’est quoi ? C’était quoi ? On doit dire c’était ou… Z : Après le déjeuner, on était souvent avec Claude Makelele, Willy Sagnol et Fabien Barthez, et puis … voila. On se … en buvant thé en café quoi, voilà … ça se passait de cette façon après le déjeuner. Et puis après on se reposait … se reposait en chambre, et puis s’entraînait après vers 17 heures, 18 heures. Et le jour du match, c’était … voilà. Se préparer pour les hauts stades. M : Alors, ce challenge de fou que vous avez relevé, vous l’avez atteint en allant jusqu’en finale. Faire son jubilée en finale de Coupe du monde, c’est … le monde entier du football est très admiratif que vous ayez atteint ce stade. Quand vous entrez sur le terrain, là, cette fois-ci, y a pas de match suivant. Et puis y va avoir des prolongations, il y en a eu. Et là, vous êtes extrêmement concentré … (coupé) Z : C’est de me dire qu’il va falloir que je sorte le meilleur match possible et pour l’équipe, et pour moi, et pour tous les gens qui sont venus nous voir, nous applaudir, et qui veulent la victoire de la France. M : Et là vous avez envie de donner du spectacle … du plaisir …et il y a pour tout le monde de faire partager ce qui est pour vous inoubliable, de le faire partager … Est-ce que c’est çà qui explique la façon dont vous avez tiré le penalty ? Z : Moi, surtout, j’avais surtout envie moi de … vous savez, quand vous avez deux, trois personnes que vous avez très souvent téléphone et qui vous sont chères, et qui vous disent : "Profite de ces derniers instants. Profite de ta fin". Et après vous le matérialisez, vous essayez de penser à ça quand vous rentrez sur le terrain. Et c’est ce que j’ai fait, de profiter vraiment de tous les moments qui m’étaient accordés, et d’aller jusqu’à … oui, jusqu’à ce penalty qui paraît un peu … (coupé) M : Est-ce qu’il y avait sur le terrain des contentieux entre les joueurs italiens … vous connaissez tous, vous avez joué cinq ans en Italie … Des histoires anciennes ? Ou au fur et à mesure pendant le match le temps a … des choses qu’on n’attend pas. Et on va y venir dans un instant avec le carton rouge et l’intervention de Materazzi … Z : Y avait pas de contentieux avant, même si vous avez toujours des frictions avec certains joueurs, c’est le jeu, c’est comme ça. C’est ce qui se passe … c’est ce qui se passe depuis … de toute façon depuis toujours. Et puis y va avoir toujours des tensions, notamment dans une finale de Coupe du monde. Mais comme d’habitude, en fait, j’ai jamais … j’ai jamais eu de contentieux avec n’importe quel joueur … M : Avec Materazzi non plus ? Z : Non. M : Jamais ? Z : Non. M : Et là, pendant le match, avant … Z : Non plus. M : Avant ce qu’on va voir, non plus ? Z : Non plus. M : Rien du tout … Z : (搖頭) C’est juste un moment où c’est qu’y a ce… M : À la 70 minute … Z : ce tirage de maillot …(coupé) M : Vous pouvez le redire ou … parce que tout le monde a envie de savoir ce qui a été dit. Z : Non, en fait, je vous dis… c’est … c’est … ça serait très grave. C’est des choses qui … voilà, c’est des choses très personnelles (coupé) …maman, la soeur … M : La maman, la soeur … Z : Et puis c’est des mots très durs, quoi. (coupé) Je suis un homme …je suis un homme avant tout … et je voilà, je vous dis … il y a des mots quelquefois qui sont plus durs que des … j’aurais préféré à la limite de me prendre une droite dans la gueule qu’entendre ça (coupé). Et j’ai réagi, et (coupé). Parce que c’est vrai que ça a été vu par deux ou trois milliards de téléspectateurs. Et tout … et des millions des millions d’enfants qui ont regardé ça. Forcément, auprès d’eux, je m’en excuse et je le dis haut et fort. Et parce qu’aussi, aux personnes, aux éducateurs qui sont là pour éduquer ces enfants, pour leur montrer les choses à faire et les choses à ne pas faire, forcément, auprès d’eux, je m’excuse. M : Vous excusez auprès d’eux, mais, est-ce que vous regrettez réellement de l’avoir fait ? Z : Parce que regretter mon Dieu… ça voudrait dire qu’il avait raison de dire tout ça. Je peux pas. Je peux pas. Je peux pas dire ça. Je m’excuse auprès de tous les enfants et de toutes les personnes qui ont vu ce geste, parce que c’est des gestes qui sont pas … qui sont pas tolérables. Mais, regretter ce geste, ça veut dire qu’en fait, il avait raison de dire ce qu’il a dit. Et non, il a pas raison de dire ce qu’il a dit. Surtout pas. Surtout pas. M : Donc si c’était à refaire, vous referiez la même chose ? Z : Je vous ai assez dit ce que j’ai pensé. M : D’accord. Ensuite vous allez vers l’arbitre. L’arbitre ne vous exclut pas, parce qu’il n’a pas vu la faute que vous avez commise. (coupé) Tout ça, ça va se développer dans les jours qui viennent. Si enquête de la FIFA, vous irez répondre ? Vous répondrez ? Z : Oui, de toute façon, bien sûr. (coupé) Mais s’y a pas réaction, enfin…s’y a pas provocation, vous savez, il peut pas y avoir une réaction. Donc … (coupé) Et ça, en fait, moi j’ai envie de le dire, et j’ai envie de le défendre. Parce que ça suffit de toujours sanctionner la réaction. Si je réagis, c’est qu’il s’est passé quelque chose. Est-ce que vous croyez vous dans une finale de Coupe du monde comme ça … (coupé) je vais aller faire un geste comme ça, et (coupé) est-ce que vous pensez à ça ? Une minute. M : Non, bien sûr (Z : Jamais.) Oui, vous le faites … mais vous faites ça sciemment … (Z : Oui), de sans froid. Z : Parce qu’en fait, y a une provocation. Et la provocation très grave, c’est tout. Maintenant, je vous dis, mon geste, il est pas pardonnable. C’est pas ce que je suis en train de vous dire là. Je dis juste qu’il faut sanctionner le vrai coupable. Et le coupable est celui qui provoque. Voilà. M : Donc si enquête, on saura peut-être, enfin, c’est parole contre parole avec Materazzi. Z : C’est pas peut-être. (M : Oui) On peut sortir, on pouvait sortir tout ce que … (coupé) De toute façon, je dis … je … comme je vous ai dit, j’étais à dix minute d’une fin de carrière. M : Et une fois le coup de tête donné, une fois l’arbitre qui vient à vous, vous êtes calme avec l’arbitre. Vous lui expliquez quoi à ce moment-là ? Z : Je lui explique qu’il y a eu justement des provocations. Je lui explique que j’ai pas fait ça … comme ça. Et je lui explique que si quelqu’un lui a dit quelque chose, parce que justement personne n’avait rien vu. Il faut qu’il regardait ce que l’autre joueur a fait. Maintenant, je, vous savez, je vous ai tout dit. Et le plus important, encore une fois, c’est un geste qui est pas … qui est pas pardonnable. Et je m’excuse … Je m’en excuse auprès de, je vous dis, de tous les enfants qui ont pu regarder ça. Parce que j’ai des enfants, je sais ce que c’est. Je leur dis toujours ne jamais se faire marcher sur les pieds. (coupé) … de dire merci, merci au football, et merci à tous les gens qui ont pu soutenir cette Équipe de France, et qui m’ont bien sûr par l même occasion soutenu … (M : Les Français vous disent aussi merci, Zinédine …) fort. M : Vous avez vu le sondage … sur le Parisien …plus de soixante pourcent des Français comprennent votre geste même sans avoir eu les informations que vous venez de donner, même si c’est à demi mot, on a quand même très bien compris de quoi il s’agissait. C’est une image effectivement. C’est la dernière image de votre carrière. Il y en a tellement d’autres, de très bel accueil à Paris qui, j’imagine, a été un peu de baume au coeur pour vous. Z : Oui, c’est pour ça que je vous dis que j’avais envie de leur dire merci. Leur dire merci, et que c’était touchant. Parce que quelque part, on … oui, quand vous avez tous les gens qui sont là pour vous soutenir, ben c’est sympa. M : Alors aujourd’hui, on est le 12 juillet. On se souviendra d’une 9 juillet qui était la deuxième finale de Coupe du monde pour l’Équipe de France. Et … et du 12 juillet, bien entendu, c’était y a huit ans, et, avec vous, l’Équipe de France, entraînée à l’époque par Aimé Jacquet, donc la France … (coupé) Est-ce que vous avez envie de rajouter … parce que cette dernière image, effectivement elle est là. Est-ce que vous avez envie de rajouter une autre, dont de refaire quelque chose ? Y a des présidents de club, y compris celui de Real qui vous a tendu une perche ces jours-ci. Z : Oui, fin, y a beaucoup de personnes qui m’ont demandé, qui ont essayé de me convaincre de continuer. Mais je crois que non. C’est vraiment une décision que j’ai prise, et que … voilà. Je reviendrai pas dessus. Fin … en tous les cas j’espère, parce que (sourire). Mais c’est … oui, c’est définitif. Par contre, prendre une licence amateur (M : Vous avez réussi …) dans mon quartier (M : Oui) de toujours, pourquoi pas ? Oui. (M : À Marseille) Et de temps en temps y retourner pour jouer … pour jouer avec les cop … avec les potes. M : Merci Zinédine Zidane pour d’être venu (Z : Merci) témoigner pour la première fois, donc depuis la finale, sur Canal+ ce soir. C’est des témoignages très très attendus. Je vous remercie d’être venu faire sur notre chaîne avec laquelle vous êtes très attaché depuis le début …(後面訪問收尾略) -- 狄馬喬即使被三振了, 也是很好看的。 --Ted Williams -- ※ 發信站: 批踢踢實業坊(ptt.cc) ◆ From: 193.52.24.125
miel:謝 07/14 10:16
amberchia:可以幫忙翻譯一下嗎 我很想知道他說甚麼 07/14 13:14
Maggie922:推~你實在太強了~好崇拜~ 希望有一天我也可以聽的懂全部 07/14 17:47
Androgyne:其實重點他剪掉了。內容包括跟教練的關係、準備對西班牙 07/14 19:39
Androgyne:練球小花絮跟最後的頭錘。只是他很難得受訪而已。 07/14 19:40
known:大謝m(_ _)m 我可以轉個人板嗎??? 07/14 19:53
Androgyne:請 07/15 02:55
known:謝謝m(_ _)m 07/15 22:31
citrons:很多字母不見了... 07/16 14:11
Androgyne:有人說http://kuso.cc/06pG這個程式有幫助。試試看吧。 07/16 18:37
known:裝了以後 似乎還要配上用pcman連bbs才有用 07/16 20:35